I need your love

On n'a que l'amour

Le mot d'Alix #7

#empowerwomenthroughcreativity

L’amour, le reste suivra

En cette fin d’année 2018, j’avais envie de parler de l’Amour avec un grand A. La période des fêtes de fin d’année est pour moi un moment hors du temps, comme en suspension et c’est justement souvent l’occasion de faire le point sur ce que la vie nous a apporté et ce que nous lui avons donné en retour.

Nos quotidiens ne sont pas toujours évidents à gérer, il est de plus en plus difficile de prendre du temps pour soi, pour faire le point, pour apprendre de nos expériences et regarder par-dessus son épaule.

Mais c’est finalement un moment essentiel pour prendre le temps de se rendre compte de la chance d’avoir tout ce qu’on a (une bonne santé/une famille/ des amis/ un boulot), bref de ne pas prendre notre vie pour quelque chose d’acquis.

C’est la raison pour laquelle j’ai souhaité partager cet article avec vous maintenant.

C’est un article que j’ai mis du temps à écrire parce que c’est un sujet complexe, pour ma part extrêmement vaste… Et sur lequel il est parfois difficile de poser des mots.

Alors j’ai décidé de vous en parler très simplement et sous des angles différents. Parce que finalement l’amour c’est ça : la spontanéité, la créativité, la liberté, en d’autres termes un pilier fondamental de bonheur et d’épanouissement.

L’amour, je pense que c’est aussi l’infini, une source inépuisable qu’il faut savoir entretenir et réinventer. Comme dit mon papa :

« Dans la vie, vous recevrez l’amour que vous pensez mériter. » 

Alors, oui, c’est vrai, l’amour c’est aussi une question d’amour propre et d’estime de soi, en fait pour Aimer, il faut s’Aimer.

Mais j’avais aussi envie de profiter de cet article pour mettre nos hommes sur un piédestal (il faut dire que nous les femmes, leur avons mené la vie dure ces dernières années). Je m’expliquerai plus bas.

Encore une fois, je partage ici avec vous un point de vue, ce ne sont que mes expériences et mes pensées.

Je ne porte absolument aucun jugement sur aucune d’entre nous, et encore moins sur les croyances politiques et sociales de qui que ce soit.

Se découvrir par l’amour

L’amour est un sentiment extraordinaire, personne ne peut dire le contraire. Il est magique car il ouvre les portes d’un domaine ultra-créatif. Ce qui le rend si unique et si puissant, c’est que pour y accéder pleinement, il faut savoir se laisser complètement tomber dedans, sans retenue, sans rationalité, sans préjugés et donc en confiance totale avec soi-même tout d’abord, mais aussi avec l’autre.

Ce n’est pas évident, parce que l’amour est vertigineux ; et chacun sait que le vide et l’inconnu ne sont pas rassurants, mais nous avons tout ce qu’il faut en nous pour le rendre exceptionnel.

Chacun, à son échelle, à sa propre vitesse, trouve les clés qui lui permettent de dépasser ses angoisses. Et qu’existe-t-il de plus fort que notre propre peur ? C’est nous-même. Nous et notre confiance en soi, nous et notre amour propre.

Il faut voir le verre à moitié plein, toujours. J’ai appris par exemple à voir dans les relations amoureuses un terrain de jeu extraordinaire pour apprendre à se connaître soi-même. Attention, quand je dis « terrain de jeu », je ne parle pas d’une quelconque façon perverse de jouer avec les sentiments de l’autre, mais plutôt d’un terrain de jeu ludique, enrichissant et surprenant qui permet d’apprendre à se connaître, en observant les réactions de l’autre, en se laissant tomber dans l’inconnu, en se laissant chavirer, aussi en se confrontant à une individualité différente, en apprenant à faire des concessions, et en apprenant de la personnalité de l’autre.

Nous avons tendance à trop réfléchir parce que nous voulons tout contrôler, alors que l’amour, finalement reste quelque chose d’assez simple tellement c’est instinctif. Les sentiments sont puissants, et justement parce que nous ne pouvons pas les contrôler. Il faut y mettre de la confiance en soi, de l’acceptation, de la vulnérabilité, afin de stimuler notre créativité, notre sexualité et repousser ses limites.

L’amour n’a pas de limites, pas de frontières, l’amour c’est la créativité de soi et de son imagination à l’état pur. N’êtes-vous jamais allée au-delà de vous-même par amour ?

L’amour, on ne va pas se mentir, ce sont aussi des hauts et des bas, et les creux peuvent être aussi vertigineux que les cimes peuvent être étourdissantes (oui, je parle de ces grands moments de solitude et d’incompréhension, ou de ces purs instants d’euphorie !).

Mais toutes ces variations nous permettent de nous recentrer, de nous découvrir et d’apprendre : ce que nous voulons profondément, ce que nous ne voulons pas dans la vie, et ce dont nous avons besoin.

En les acceptant, on avance.

Je me suis construite en grande partie grâce (ou à cause ?) de mes relations amoureuses, elles m’ont façonnée, fait grandir, aidée à comprendre ce que je voulais ou ne voulais pas dans la vie, et m’ont permis de savoir où était la limite de ma tolérance.

J’ai aimé pleinement, de tout mon cœur, de tout mon être les hommes avec qui j’ai été, je pense avoir été follement aimée en retour, et je porte en moi chacun des hommes que j’ai aimés. Toutes les relations ont un enseignement et aucune n’est vaine, elles nourrissent notre capacité à nous réinventer, à aimer, et ne la diminuent jamais.

Exprimer son amour

L’amour n’a pas de limites, c’est pour cette raison que je trouve que c’est un sujet très inspirant et créatif. Après chacune de mes ruptures sentimentales, comme tout le monde je crois, je me disais toujours que je ne m’en relèverais jamais. J’avais l’impression à chaque fois d’avoir été arrachée à une partie de moi-même, et surtout que je ne pourrais plus jamais aimer autant. Et à chaque fois, je suis retombée amoureuse, follement, et d’un amour totalement différent.

Je sentais que chacune de mes relations précédentes m’avaient fait grandir, mûrir, changer. J’avais certes appris que je ne voulais pas aimer un nouvel homme pour les mêmes raisons que le précédent, mais je me rendais aussi compte que n’avais pas abîmé une once de mon quota d’amour.

Ça peut sembler idiot dit comme ça. Mais j’ai réalisé que l’amour était infini, c’est un puits sans fond. Oui, on aime sans limites, en nombre, dans le temps, et en intensité. On peut aimer à la folie un homme et en aimer un autre après, autant. On peut aimer autant tous ses amis, ses frères et sœurs, sa famille, de la même façon ses deux enfants. Ça ne se divise pas. C’est comme les cellules, ça se multiplie. Et finalement, le jour où j’ai compris qu’avec l’amour tout était possible, je me suis aussi rendue compte qu’en l’exprimant, tout était plus facile.

Alors c’est valable pour l’amour avec un(e) partenaire, mais cela concerne aussi l’amour dans un sens plus large : l’amour de son travail, du sport, de la nourriture, des ami(e)s/ famille… bref tous ces éléments qui nourrissent et boostent notre quotidien, mais surtout nous épanouissent.

Notre routine et nos vies à 100 à l’heure, toutes les contrariétés auxquelles on doit faire face nous font parfois oublier de célébrer ces petites pulsions positives, qui sont là pour nous redonner espoir et nous permettre de faciliter notre quotidien. Il est donc essentiel de prendre le temps de laisser ces sensations nous traverser, mais surtout il est important de les verbaliser.

L’amour c’est le partage, et nos sensations et sentiments doivent absolument être exprimés verbalement.

Par exemple, il y a une différence entre se réveiller tous les jours avec sa famille et se dire à soi-même en silence qu’on les aime et leur dire à eux. Croyez-moi, ça n’a pas du tout le même impact.

Le pouvoir des mots et de l’amour est absolument incroyable.

Ce que je veux dire, c’est que nous oublions trop souvent de dire aux gens qu’on aime et qui nous aime nos sentiments. C’est valable dans le cercle familial, mais aussi dans le travail, soit parce qu’on est avec eux tous les jours, soit parce qu’on est pris dans l’agitation du quotidien, englué dans les habitudes, soit parce que ça nous intimide. Oui, cela peut arriver qu’on perde l’habitude de dire « je t’aime », ou « bravo » ou « je suis fière de toi », mais l’impact sur la personne à qui nous le disons est absolument incroyable et l’impact sur la personne qui prononce ces mots est également très euphorisant. Essayez !

Mon rapport aux conflits a totalement changé depuis que j’ai appris à exprimer mes sentiments.

Je n’ai jamais aimé les conflits et les tensions. Je ne les évite pas pour autant car je pense que les conflits sont bénéfiques lorsqu’ils sont justifiés, mais il y a encore quelques années de ça, lorsqu’il m’arrivait d’avoir une « confrontation » avec quelqu’un, chacun donnait son point de vue, exprimait ses désaccords etc., mais ensuite, c’était chacun dans son camp :

« Voilà, on s’est tout dit, merci, au revoir. »

Aujourd’hui, je procède finalement de la même manière à la seule différence que j’essaie toujours de clôturer le conflit par un mot bienveillant, ou en tout cas j’essaie de tendre une main à l’autre. Un conflit, ce n’est pas faire une déclaration de guerre, c’est simplement accepter les divergences avec l’autre. J’ai compris qu’on n’avait pas besoin de s’entendre sur tout ni de partager les mêmes points de vue pour s’aimer.

Ça a totalement changé mon rapport aux gens.

Les femmes, oui, mais les hommes aussi

Dans cet article sur l’amour, j’avais très envie de parler des hommes aussi. Il est important pour moi de leur rendre hommage.

Nous vivons dans une époque où plus que jamais les femmes ont pris la parole, se libèrent, se sont libérées et je suis fière d’appartenir à cette génération. Nos mères se sont battues pour nous, notre liberté et nos droits, et nous avançons dans la même direction qu’elles.

Mais il faut le dire, nos hommes ont pris cher depuis quelques années.

Je suis à 100% pour la cause des femmes, l’égalité des salaires, l’égalité des droits, mais je suis aussi complètement pour le respect de nos différences (psychologiques, réactions, émotions, etc.).

J’aime profondément les hommes, la virilité, la force et tous les clichés qui font d’un homme un homme. Chacun son rôle, chacun ses tâches. Je ne cherche pas à être égale à eux tout simplement parce que nous sommes deux sexes différents, nos corps sont différents, nos hormones, nos priorités et nos cerveaux fonctionnent différemment, et cette différence me plaît parce je pense qu’elle nous complète en tant qu’individu.

J’aime la féminité enfouie chez un homme, sa vulnérabilité, sa douceur, sa sensibilité qui souvent sont cachées derrière autre chose. J’ai souvent considéré, à regret, des qualités comme des faiblesses.

Pourtant, j’ai grandi dans ce qu’on pourrait appeler une famille unisexe, où, mon frère, ma sœur jumelle et moi-même avons reçu exactement la même éducation, sans distinction.

J’ai grandi en me disant que je serais une femme forte, enfin je ne me le disais pas en tant que tel mais finalement, j’ai la sensation d’avoir toujours eu un sentiment d’indépendance et de puissance (inconscient !), comme s’il avait été anticipé et transmis par nos parents.

Fille ou garçon, c’était dans notre sang, nos gènes, mon éducation.

Petite, j’étais ce qu’on appelle un « garçon manqué », j’avais les cheveux courts, je jouais au foot on m’appelait « jeune homme » quand je rentrais dans un magasin. Caroline (ma sœur jumelle) était, elle, très féminine, les cheveux jusqu’aux fesses, elle faisait de l’équitation. Et mon frère était finalement un mélange de nous deux.

Avec seulement 18 mois d’écart, nous avons été élevés comme des triplés, fille ou garçon, nous avions exactement la même éducation, les mêmes activités, les mêmes ami(e)s, et absolument aucun tabou entre nous, nous parlions complètement librement de nos sentiments, de nos ressentis, on se posait des questions ouvertes selon telle ou telle situation.

Je dirais que nous étions des filles avec une sensibilité masculine et notre frère, un garçon avec une sensibilité féminine.

Cela peut paraître un peu simpliste mais cette façon de grandir m’a d’une certaine façon aidée à comprendre que les hommes étaient aussi ultra-sensibles et que la plupart des conflits que j’avais pu avoir précédemment dans mes relations relevaient souvent d’un manque de communication ou d’une peur d’exprimer ses sentiments, positifs ou négatifs d’ailleurs. Un jour, j’ai soudainement compris que mes amoureux n’étaient pas les super-héros que j’imaginais, mais qu’ils étaient eux aussi ultra-sensibles et vulnérables.

L’amour, le grand

Puis à 29 ans, après une séparation très douloureuse, où mon égo avait été tiraillé et mon espérance de retomber un jour amoureuse de quelqu’un était proche de 0, tout a basculé et surtout, tout ce que j’avais appris et qui était enfoui en moi a pris sens et forme comme une évidence, comme un fil qui se déroule.

J’ai rencontré celui qui est devenu mon mari, Onur, au bar d’un hôtel new-yorkais, Le Bowery Hotel, un soir de février 2012, totalement par hasard, puisque j’avais initialement rendez-vous à 18h30 avec des journalistes pour Heimstone.

J’ai rencontré mon mari parce que je me suis trompée sur l’horaire d’un rendez-vous ! Je suis arrivée 30 minutes trop tôt, au moment où « bonnet rouge » (il portait un bonnet rouge ce soir-là) partait.

Ces 30 minutes ont fait basculer toute ma vie, exploser mon cœur blessé, parce que jamais auparavant mon cœur et ma tête n’avaient fonctionné autant à l’unisson avant ce moment-là. Tout est devenu évident.

Onur est né en Turquie, et a grandi en Australie. Il était à New York pour son travail. Il habitait en Australie et moi à Paris. Pratique.

Je sortais d’une relation de 6 ans avec quelqu’un qui vivait entre New York et Paris, donc autant dire que j’avais donné dans la relation à distance, j’étais abonnée aux allers-retours, et alors que je m’étais jurée de ne pas reproduire ce schéma, je sautais à pieds joints dedans, avec un Australien cette fois-ci…

Mais le plus important dans l’histoire de ma rencontre avec mon mari, ce qui a été magique, c’est cette évidence que c’était lui et que c’était moi (l’histoire dit qu’Onur, en me voyant arriver dans l'hôtel ce soir-là, aurait dit à son ami que je deviendrais sa femme et la mère de ses enfants !).

C’était l’amour à l’état pur, la simplicité, je me suis complètement abandonnée dans ses bras, j’étais impressionnée par l’aisance qu’il avait d’être ultra-sensible et vulnérable et si déterminé à la fois.

On s’aimait follement, si follement que tout était simple comme bonjour. Il a quitté l'Australie et est venu s’installer à Paris avec moi au bout de trois mois. Huit mois plus tard, nous déménagions à New York car nous en avions tous les deux envie.

Nous avions nos propres boîtes, la mienne à Paris, la sienne à Sydney. Mais comme je le disais, tout était simple : Onur a déménagé sa boîte FOUND, aux Etats-Unis, ainsi que son associé. De mon côté, j’avais mes équipes à Paris et je travaillais de New York. C’était aussi simple que ça.

Quinze mois après notre rencontre, j’étais enceinte d’Ellis, notre première fille.

Je me dis toujours que c’est incroyable à quel point la détermination, l’amour et la confiance facilitent la vie et ses décisions.

Alors évidemment, écrit comme ça, ça a l’air d’être l’histoire d’amour idéale où tout fonctionne à merveille sans contrainte, mais cela ne l’a été que parce que j’avais décidé que je voulais que cette histoire soit simple. Mais croyez-moi, à l’époque il y avait plus de chance que cette histoire capote que le contraire ! Nous ne vivions pas sur le même continent, nous n’avions pas la même culture et surtout nous ne parlons même pas la même langue !

Mais voilà, j’avais décidé que je voulais que ça marche, et lui aussi, alors plutôt que de trouver des obstacles qui pouvaient nous éloigner, on a fait de ces différences notre force, notre terrain de jeu et finalement notre vie.

Et aujourd’hui je me demande comment, et ma réponse c’est la communication.

Onur a une aisance incroyable avec les mots, ses pensées et ses idées sont aiguisées et justes (bon, pas tout le temps, j’ai souvent raison quand même !), mais c’est un homme qui a les idées claires, parce qu’il a l’honnêteté et le courage d’exprimer ses pensées, ses frustrations et ses sentiments en permanence.

En fait, plus il est difficile de communiquer (l’anglais n’est pas ma langue maternelle), plus on est à l’écoute et on cherche les mots justes pour s’exprimer. Ainsi, c’est un cercle vertueux et plus on exprime ce que l’on ressent, plus il est facile de s’exprimer et plus nos pensées s’aiguisent et se simplifient. C’est une question de gymnastique et surtout, ça apprend à se faire confiance.

La confiance dans un couple c’est pour moi la base la plus solide d’une relation, car elle permet d’éviter les malentendus, les non-dits, fluidifie les conversations et évite ainsi les frictions.

« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. » Boileau

Comme moi, Onur n’aime pas les conflits qui durent, comme je le disais, ce n’est pas parce qu’on s‘aime qu’on doit être d’accord sur tout, mais on est d’accord sur le fait que l’amour doit d’abord être une question de tolérance et d’acceptation. Un conflit qui ne dure pas est très sain, le laisser se gangrener en mettant le sujet sous le tapis ne peut que créer des points de tension, qu’on le veuille ou non.

Et comme j’aime dire, on a qu’une vie donc il vaut mieux AIMER toutes les minutes plutôt que HAÏR quelques secondes.

L’amour comme moteur

Alors l’amour comme moteur dans la vie fonctionne à toutes les sauces, c’est un carburant pour le quotidien et une source de créativité incroyable car avec l’amour, tout est possible.

On me demande souvent sur les réseaux sociaux comment j’arrive à gérer mon emploi du temps avec deux enfants, une boîte, le sport, la cuisine, le sommeil etc.

La réponse c’est l’amour, l’amour de ma famille, l’amour de mon mari, l’amour du yoga, l’amour de la cuisine, l’amour de mon boulot, l’amour du sommeil.

Ce qui fait perdre du temps dans la vie, ce sont toutes les choses qui ne nous font pas du bien, qui nous frustrent ou qui nous ennuient.

Quand on fait les choses par amour, on les fait vite et bien, on y trouve une satisfaction incroyable et surtout, comme je le disais précédemment, c’est un puits sans fond. L’amour fait déplacer des montagnes, il peut vous arriver n’importe quoi, si vous aimez et vous vous sentez aimée, vous irez au bout de vos rêves et de vos ambitions, et à plus petite échelle, au bout de votre journée de façon beaucoup plus légère et efficace.

Par exemple, en 11 ans avec Heimstone, j’ai connu des up incroyables et des down vertigineux, je me suis retrouvée au pied du mur plusieurs fois, on m’a dit « non » probablement trop souvent, mais jamais je ne me suis découragée parce que j’ai toujours fait Heimstone par amour et donc en confiance, j’ai toujours adoré ce que j’y fais tous les jours, toutes les différentes étapes, même les plus difficiles (nous parlerons d’ailleurs de ce sujet dans un prochain article sur l'entrepreneuriat).

J’aime passionnément chaque parcelle de ma vie, je n’ai pas peur d’aimer et de le dire, je me rends compte de la chance que j’ai, mais c’est aussi parce que je l’ai laissé rentrer par la grande porte dans ma vie. Et que quel que soit votre chemin, que vous en soyez au plus profond creux ou à la plus étourdissante cime, n’ayez pas peur, on a toutes un grand A qui veille sur nous, qui nous guette. Il est en vous.

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