#empowerwomenthroughcreativity
Il y a quelques semaines, vous avez été nombreuses à me demander en quoi consistait ma « routine beauté » et nombreuses ont été les questions : comment avais-je retrouvé la ligne après ma seconde grossesse, à quelle fréquence pratiquais-je du sport, mais aussi quels sont les produits que j’utilise.
Pour répondre à vos questions, j’ai eu envie d’élargir un peu cette conversation, et surtout de la rattacher à la thématique principale de notre journal qui est la créativité.
Nous vivons aujourd’hui dans une société où notre manière d’appréhender le monde et notre façon de consommer a énormément changé.
Par exemple, j’ai l’impression que la génération de nos parents a eu un rapport à la consommation différent du nôtre. Sans les réseaux sociaux et l’importance aujourd’hui accordée au regard des autres, nos parents avaient, eux, un rapport à l’épanouissement qui était majoritairement matériel. Ils ont eu, peut-être encore plus que nous (je suis née en 1983), une attitude qui voulait dire « je suis ce que je consomme ». Ce que je veux dire par là, c’est que leur bien-être et leur existence sociale passaient essentiellement par leur consommation, leurs fréquentations ou encore leur réussite professionnelle. J’ai en tout cas l’impression que la valeur de richesse était peut-être pour eux d’avoir une belle voiture, alors que pour nous aujourd’hui, ce serait plus d’être en bonne santé.
C’est de cette façon qu’à mon sens notre génération est différente, dans la mesure où, bien que nous consommons tout autant que nos parents, nous agissons en conscience et avons appris que notre bien-être extérieur dépend - essentiellement - de notre bien-être intérieur. Nous avons également pris conscience de ce que nous mangeons, la question environnementale fait désormais partie de notre quotidien, nous sommes moins boulimiques et peut-être moins compulsifs et avons appris, essayons en tout cas, de consommer selon nos besoins.
Petit à petit, nous tentons de vivre en harmonie avec notre planète et cela nous force à consommer en conscience et à effectuer un retour à la terre et donc au naturel. Plus que jamais, il devient cohérent et nécessaire de parler d’harmonie entre notre corps, notre tête et le monde qui nous entoure. On essaie…
Même si nous avons été élevés par une génération qui consommait différemment, nous avons grandi dans un monde en crise écologique et nous ne pouvons pas le nier. Témoins de ce changement, nous sommes la génération qui va devoir inverser la tendance et il est de notre devoir de le transmettre à nos enfants.
Quel est le rapport entre tout ceci et ce sujet sur la « routine beauté » ?
À mes yeux, le bien-être et donc la beauté au sens large du terme sont intrinsèquement liés, et s’obtiennent tous deux par un retour à la simplicité et par une harmonie intérieure et personnelle.
Concernant la routine à proprement parler, je ne pense pas être une pro ! Je ne passe pas beaucoup de temps dans ma salle de bain et j’utilise des produits assez simples. Enfin, je pense surtout que cette fameuse « routine beauté » est une notion plus globale, qui passe par notre style de vie, notre épanouissement personnel, notre bonheur, notre routine quotidienne finalement, plus que par de simples crèmes.
Alors, voici ma routine beauté, qui est évidemment très personnelle et sûrement pas révolutionnaire. Elle n’est en aucun cas un jugement sur le style et l'hygiène de vie de chacune d’entre nous. Encore une fois, mon idée ici n’est pas de lister avec prosélytisme des produits de beauté mais plutôt d’essayer de partager avec vous ma conviction qu’une certaine philosophie de vie rend belle, et qu’il est important de se la rappeler tous les jours à une époque où les produits cosmétiques se développent dans tous les sens (parfois à tort et à travers !)...
Pour moi, la chose primordiale avant de se tartiner de crèmes en espérant qu’elles produisent des miracles, c’est d’être épanouie avec soi-même.
Cela ne veut pas dire essayer d’être parfaite, loin de là, mais ça veut dire apprendre à surfer sur les up and down de la vie avec créativité, c’est-à-dire avec humour et légèreté, mais aussi avec une certaine vulnérabilité.
La beauté, pour moi c’est aussi ça. C’est ce travail qui prend toute une vie. Mais je crois plus que tout que l’équilibre de notre mental a un impact incontestable sur notre santé physique et donc sur notre beauté.
Beau dedans, beau dehors
La chose primordiale avec la beauté, c’est d’être « alignée » avec soi-même. Ce que je veux dire par là, c’est qu’il faut essayer de s’accepter telle que l’on est, aussi bien physiquement, évidemment, que moralement. Il ne faut surtout pas négliger cet aspect.
Il n’y a pas de scoop dans ce que je vais vous dire mais personne ne peut nous changer. Sauf nous.
Pour s’accepter, il faut déjà savoir s’écouter mais aussi se regarder. Je ne parle pas de se juger mais seulement de se regarder.
On a toutes des traits de caractère qui nous agacent nous-mêmes. Partons du principe qu’ils ne sont pas figés et qu’il n’appartient qu’à nous de les faire évoluer.
De mon côté, j’essaie toujours de me débarrasser de tout ce qui ne me fait pas du bien.
Ce n’est pas une tâche facile car ça demande de mettre son égo de côté, de se faire confiance, de lâcher-prise et d’accepter sa vulnérabilité. C’est un exercice difficile mais qui me paraît indispensable.
Je suis d’un naturel assez excessif. Quand j’aime, j’aime follement, quand j’avance, je fonce, quand je ne suis pas d’accord, je m’oppose farouchement. J’aime être en contrôle, gérer, prendre des décisions, j’aime que les choses aillent vite. C’est donc une tâche laborieuse pour moi que d’entreprendre un travail sur soi au long cours, et ce tout au long des différentes étapes de sa vie.
Nous en revenons une fois de plus à ce que je pense être notre meilleur allié dans la vie : la créativité.
Ici, nous ne parlons pas forcément de la créativité artistique mais plutôt de la capacité que peut avoir notre esprit à trouver des solutions originales face aux problèmes auxquels nous sommes confrontées.
Cette créativité-là est pour moi le facteur essentiel à l’épanouissement personnel, car elle requiert une remise en question presque quotidienne, qui nécessite une certaine vulnérabilité, acceptation de soi ainsi qu’un long et parfois douloureux apprentissage de vie avec ses échecs. Surtout, cela nous oblige à devenir acteur de notre vie, ou si vous préférez, à voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.
Bien souvent, la frustration, l’agacement et l’amertume nous figent dans une situation, tandis que la créativité nous oblige à prendre de la distance avec nous-même, à prendre du recul, on se retrouve donc au-dessus du problème.
Nous avons toutes des expériences qui nous sont propres, des blessures, des épreuves. Elles nous ont construites et ont forgé notre personnalité, mais je pense profondément qu’elles ne doivent pas être une finalité en soi, ou que si elles sont notre identité, doivent constituer un moteur plutôt qu’une menace.
Comment ? Peut-être en commençant par essayer de leur donner moins d’importance.
Il ne s’agit pas de les ignorer, mais de tourner ces blessures, et donc nos points faibles, en forces. Encore une fois, passer du verre à moitié vide au verre à moitié plein.
En d’autres termes, accueillir, accepter, puis digérer.
Je souhaitais partager avec vous ces quelques lignes découvertes grâce à mon amie Amélie @a-muse-yoga qui, pendant nos pratiques de yoga, nous lit régulièrement ce texte. J’aime son caractère symbolique, très imagé, mais qui de mon point de vue illustre très bien cette notion de verre à moitié vide ou à moitié plein.
I walk down the street.
There is a deep hole in the sidewalk.
I fall in.
I am lost... I am helpless.
It isn't my fault.
It takes forever to find a way out.
I walk down the same street.
There is a deep hole in the sidewalk.
I pretend I don't see it.
I fall in again.
I can't believe I am in the same place.
But, it isn't my fault.
It still takes me a long time to get out.
I walk down the same street.
There is a deep hole in the sidewalk.
I see it is there.
I still fall in. It's a habit.
My eyes are open.
I know where I am.
It is my fault. I get out immediately.
I walk down the same street.
There is a deep hole in the sidewalk.
I walk around it.
I walk down another street.
Portia Nelson, There's a Hole in My Sidewalk: The Romance of Self-Discovery
Accepter, digérer
Comment digérer ? Il faut accepter et décider de ne pas vouloir être spectateur de sa vie.
Vivre avec ses remords et ses blessures crée de l’amertume, de la négativité, de la peur, bref toute une somme de choses pas très agréables qui ont aussi une très forte répercussion sur notre physique mais surtout sur notre santé.
Je me dis toujours qu’un agacement ou une frustration est une ride en plus pour plus tard. Pensez-y, ça vous aidera à vous décrisper !
Tout ceci est ambitieux et ne se fait pas en un jour. Il y a des jours avec et d’autres sans, pour tout le monde. La clé, c’est d’y croire et de le vouloir. Mais une fois que c’est digéré, que l’idée d’être soi est acceptée, nous trouvons l’harmonie intérieure. Et si c’était ça, une vraie routine beauté ?
Nous avons toutes à un moment de notre vie eu des fréquentations « nuisibles », des « ami(e)s » qui font partie de notre quotidien mais qui, quand nous les voyons ne nous apportent rien si ce n’est un sentiment de malaise, nous font douter, ou nous rabaissent, mais que nous continuons à voir pendant des années sans véritablement savoir pourquoi.
Mon père nous a toujours dit que nous étions responsables de nos vies, libres mais responsables des amis que nous choisissons. Personne ne nous les impose à part nous, et cette phrase a pris sens le jour où j’ai décidé de ne plus me retrouver dans des situations inconfortables avec des gens qui ne voulaient pas (que) mon bien.
Cela ne veut pas dire qu’il faut partir fâché et ne plus jamais se dire bonjour, mais il faut comprendre ce qui nous a amené un jour à fréquenter ces personnes, pourquoi on ne se sent pas bien entourée de ces personnes, l’accepter, décider de ne plus les voir, et une fois que tout cela est digéré (on y revient !), cela ne vous posera aucun problème de les croiser par hasard sans avoir un arrêt cardiaque.
En fait, une fois de plus, il s’agit d’après moi de savoir être créatif, réussir à être au-dessus du sujet et du problème, prendre de la distance et envisager sa vie comme un grand terrain de jeu où tout est possible, où l’on peut décider d’avancer ou de reculer, de sauter les obstacles ou non, de rester dans les zones d’ombres ou d’avancer dans les grandes éclaircies.
Avancer
Avancer n’est pas une chose facile. C’est apprendre à nous ouvrir à autre chose que ce qui est juste sous notre nez, être plus conciliante, avoir plus d’empathie avec les autres mais aussi avec soi, apprendre à se mettre moins de pression inutile et surtout apprendre à se satisfaire de ce que nous avons achevé aujourd’hui. Encore une fois, il ne s’agit pas ici d’un manuel, mais plutôt d’une conviction personnelle que j’essaie d’appliquer à moi-même au quotidien et que je partage avec vous.
Mon conseil ? Laissez tomber les préjugés, détachez-vous des règles inutiles qui vous empêchent d’avancer, apprenez à vous laisser porter par la vie et par votre intuition. En les observant de près, on se rend compte que les règles sont faites pour être détournées. Alors, écoutez-vous !
Un jeu d’équilibriste
Je suis persuadée que l’harmonie, la paix intérieure, l’Amour, le bonheur, la beauté, la forme physique, finalement TOUT, tout est une question de balance et d’équilibre.
L'excès quel qu’il soit n’est jamais bon, et son inverse (la retenue) non plus.
J’ai envie de m’approprier la phrase que mon père nous a appris et de dire que nous sommes responsables de notre vie mais aussi de notre corps : autant nous ne pouvons pas changer la forme de notre visage, de notre nez ou de nos yeux, par contre nous pouvons complètement avoir une incidence sur la forme de notre corps.
Et en cela, nous sommes chanceuses parce qu’il y a plusieurs manières d’y arriver !
Évidemment, à commencer par l’alimentation, vous pouvez simplement faire un test sur une semaine, par exemple, avec des résultats qui seront probablement immédiats :
- Supprimez de votre alimentation tous les sucres rapides (bonbons, gâteaux, chocolats…), le pain, les boissons gazeuses… Bref, finalement une grande partie de la mauvaise alimentation des supermarchés.
- Remplacez tout cela par une alimentation riche en produits frais : légumes, fruits, protéines animales ou autres. Pourquoi pas même un généreux plat de pâtes aux légumes avec une bonne huile d’olive et du parmesan frais dessus.
- Assurez-vous de boire au moins 3 litres d’eau par jour.
- Observez la différence.
Au quotidien, souvent active et submergée, c’est très difficile d'être régulière dans son alimentation. Moi aussi je pense que la vie est (beaucoup !) plus joyeuse quand elle est spontanée et instinctive, avec un petit carré de chocolat sous la dent, un verre de vin de trop et un morceau de pain trempé dans une huile d’olive délicieuse.
À mon sens, la nourriture c’est le plaisir total, parce que c’est un terrain ultra créatif pour nos cinq sens, et c’est pour cela que je suis à 100% contre les régimes. C’est pour moi complètement contre-productif. En revanche, je suis intimement convaincue du fait qu’il faut apprendre à équilibrer son alimentation, car rien n’est aussi mauvais que l'excès.
Imaginez-vous : à gauche, vous avez accès à toutes les cochonneries délicieuses (gâteaux, pain, chocolat, beurre, charcuterie, etc.) et à droite vous avez des petits légumes vapeur, un filet de poisson, des graines et des litres d’eau. D’après moi, une bonne alimentation doit se trouver en équilibre sur cette corde raide.
Je suis - très - gourmande, j’adore manger, c’est d’ailleurs avec mon mari une de nos occupations favorites. Assez régulièrement, on n’a même pas fini le petit déjeuner qu’on est déjà en train de préparer le déjeuner…
Mais j’ai appris à faire des choix dans mon alimentation : bien que je n’aie aucun aliment interdit, c’est à dire que je mange du chocolat dès que j’en ai envie, je bois un verre de vin dès que je le souhaite, j'essaie de trouver un juste milieu.
Voici quelques tips qui me semblent indispensables :
- Buvez 3 litres d’eau par jour.
- On peut manger de tout, toute la journée, mais évitons le soir de manger du pain et des sucres rapides (chocolat, gâteaux, laitages sucrés).
- Dînez tôt.
- Variez votre alimentation, faites-vous plaisir, mais sachez aussi vous restreindre, je ne suis pas contre sauter un dîner un soir si on n’a pas faim.
- Évitez les calories inutiles (croûtes de pizza, pain, boissons sucrées, etc.).
- Évitez autant que possible d’acheter des produits industriels, pleins de sucres et d’acides gras saturés.
- Achetez des produits frais
L’autre moyen de transformer son corps est bien évidemment le sport.
Le sport est un très bon allié dans la vie grâce à ses multiples vertus : il oxygène le cerveau, renouvelle nos cellules, facilite les problèmes de digestion, c’est un très bon anti-stress et en plus, il booste notre égo plus que tout avec une notion de satisfaction quasi immédiate. Bref, le sport, c’est très « empowering ».
J’ai la chance d’avoir eu des parents très sportifs. J’ai grandi dans une famille dans laquelle le sport était omniprésent, pendant les week-ends et les vacances scolaires, tout le temps.
Nous passions tous nos mois d'août dans des camps de tennis aux États-Unis. À Paris, nous faisions des tournois de tennis, mon père nous emmenait courir au Bois de Boulogne. Une grande partie de mes amis d’enfance sont des amis avec qui nous évoluions dans le même milieu sportif.
Je vous avoue néanmoins qu’entre mes 18-22 ans, je passais plus de temps sur les podiums de boîtes de nuit que sur un terrain de tennis ! Il y a un temps pour tout, ça m’est rapidement passé et le sport est revenu ensuite au centre de mes préoccupations. Vous pouvez lire notre article sur la grossesse pour en savoir plus.
Ce que j’adore avec le sport, c’est que plus vous en faites, plus vous avez envie/ besoin d’en faire et plus vous avez envie d’avoir une bonne hygiène de vie.
Je sais qu’au début, le sport peut sembler être une vraie corvée, mais je vous assure que plus vous en ferez, plus vous aurez envie d’en faire.
Et surtout pas d’excuses ! Il n’y a pas d’âge pour commencer et personne n’a besoin d’avoir un don particulier pour pratiquer.
Je pense par exemple au footing qui est très bon car il est complet pour tout le corps. Vous pouvez commencer par un footing de 5-6 minutes, puis 10-12 minutes, restez à ce stade-là pendant quelques semaines et vous verrez que naturellement vous passerez des paliers et vous aurez envie d’aller plus loin.
Au bout de quelques mois, il ne sera peut-être pas surprenant qu’un footing de 45 minutes rentre dans vos normes, et qui sait, vos besoins ?
Le plus important c’est d’essayer et surtout de vous écouter. Commencez à pratiquer peu, mais régulièrement.
Aujourd’hui le sport fait partie intégrante de mon quotidien, et je ne vais pas vous mentir, mon emploi du temps est calé en fonction de mes horaires de yoga ou de boxe.
Comme je disais, plus on en fait, plus on a besoin d’en faire.
Je suis née raide, mais il y a deux ans j’ai eu envie de changer ça, et j’ai décidé de me mettre au yoga.
Ce qui est incroyable, c’est la transformation de mon corps. Avant, je ne faisais que du cardio : boxe, beaucoup de footing, natation, tennis, mon corps était donc tonique. Mais le yoga l’a transformé : je le sens plus long, plus fin, plus ouvert, je sens que j’ai réussi à créer de l’espace.
Tout ceci rejoint ce que je vous disais au début : notre corps est en mutation permanente et je pense que c’est à nous de l’entretenir et de le façonner comme nous le souhaitons.
Voici quelques tips :
- Pour commencer : pratiquer peu pour ne pas vous décourager mais régulièrement.
- Pensez que 5 minutes de footing, c’est mieux que 0 et que de monter les marches à pied, c’est mieux que de prendre l’ascenseur.
- Si vous voulez perdre du ventre, pas de secret, faites des abdos et si vous voulez vous muscler les fesses, pas de secret, faites des squats !
- Si vous voulez récupérer votre silhouette d’avant la grossesse, supprimez les mauvais aliments, remplacez-les par des légumes verts et commencez à pratiquer du sport. Il n’y a pas de recette miracle !
Enfin, avant de vous parler de mes quelques produits favoris, je souhaitais conclure cet article en vous disant qu’en vérité, la véritable beauté pour moi est l’épanouissement. Si on est épanouie, tout glisse sur nous, même les crèmes !
L’épanouissement est partout autour de nous : il passe par notre routine sportive et alimentaire mais aussi par la décoration de notre intérieur, par tous les petits et grands plaisirs que la vie nous offre, que ce soit du linge qui sent bon ou la naissance d’un enfant, l’amour de notre famille, le positif est partout, il suffit de le voir ! Ainsi, tous (ou presque) les produits cosmétiques fonctionneront !
Voici quelques réflexes beauté :
- Boire tous les matins à jeun une tasse d’eau brûlante avec du persil et un jus de citron, cela détoxifie le foie et donc la peau.
- Boire tous les soirs une infusion gingembre.
- Se faire masser tout le corps 1 fois par mois. Je vais souvent au Bahn Thai Spa, un peu cher mais les massages sont délicieux.
- Je conseille aussi le Hammam marocain du 19e, pour un gommage au savon noir, hammam et massage délassant.
N’hésitez pas à utiliser la science pour délasser les jambes lourdes une fois par semaine avec les massages Cellu M6 LPG (massage drainant). Les résultats sont incroyables si vous pratiquez une activité physique à côté.